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Auteur/autrice : admin

JAMAR DIGGS PROLONGE L’AVENTURE FOSSÉENNE !

L’effectif fosséen version 2020-2021 continue de se dessiner avec l’annonce officielle de la prolongation de Jamar Diggs (32 ans, 1,88m), qui s’est engagé pour une saison supplémentaire avec les BYers !

Le meneur-arrière a été l’un des hommes forts du titre de champion de France de Pro B la saison dernière, culminant à 13,3 points et 5,3 passes décisives pour 14,3 d’évaluation en moyenne sur 34 matchs.

Précieux dans les moments chauds et dans son association avec Edouard Choquet sur les postes arrières, Jamar Diggs a démontré qu’il avait les capacités pour relever un nouveau défi, la BetClic Elite, où il va évoluer pour la première fois de sa carrière.

Jamar Diggs rejoint pour l’heure Edouard Choquet, Nik Caner-Medley, Allan Dokossi, Bodian Massa et Jean-Michel Mipoka dans les rangs « Black&Yellow » pour la saison 2021-2022.

JAMAR DIGGS : « TRÈS FIER DE MON ÉQUIPE QUI N’A JAMAIS ABANDONÉ »

Auteur de l’une de ses meilleures saisons en carrière (13,3 points, 2,1 rebonds, 5,3 passes décisives, 1,2 interception en moyenne par match pour 14,3 d’évaluation), Jamar Diggs a été l’un des lieutenants les plus solides de l’effectif de Rémi Giuitta cette saison, assurant la mène avec brio aux côtés d’Edouard Choquet. A l’issue de cette saison parfaite, les BYers ayant remporté la Leaders Cup et terminé à la première place du championnat, Jamar Diggs est revenu sur cette aventure qui restera à jamais gravée dans l’histoire du club.

Jamar, tu fais partie des deux joueurs de l’effectif à avoir disputé les 34 matchs de saison régulière (avec Edouard Choquet). Comment te sens-tu après ce final de folie ?

Physiquement, je me sens bien, maintenant que c’est terminé. C’était très difficile ces deux derniers mois, mais je fais ce qu’il faut pour prendre soin de mon corps, un équilibre entre le repos et la musculation pour préparer les matchs. En fait, j’aime jouer … je n’ai pas besoin de rester assis toute la semaine pour jouer une seule fois. J’aimerais que la France fasse quelque chose comme ça plus souvent. Peut-être un mois de matchs à deux rencontres par semaine, puis un mois de matchs uniquement hebdomadaires.

Quel était ton état d’esprit en arrivant dans un nouveau club l’été dernier ?

Quand j’ai vu la liste de l’effectif, j’ai su que nous avions une chance de monter en Jeep Elite. Mais je voulais juste venir et être le meilleur joueur possible pour aider l’équipe à gagner. La saison est très longue, mais il s’agit de gérer les hauts et les bas d’une saison, les blessures, le Covid etc. en restant soudé en tant que groupe.

C’est une belle revanche par rapport aux saisons précédentes avec la victoire en Leaders Cup alors que tu avais perdu en finale avec Rouen, et le titre de champion de Pro B acquis sur le parquet de Nantes, l’équipe où tu as fait tes débuts en France ?

Je ne me lance pas dans une saison en prenant ça comme une revanche. C’est plutôt un sentiment de détermination, d’affirmation. Des choses négatives ont été dites sur moi dans d’autres clubs, mais je sais quel type de personne et de joueur je suis. Alors le fait d’y arriver cette année me permet de sourire un peu par rapport à ceux qui doutent de moi. 😉 …

De quoi es-tu le plus fier cette saison ?

Fier de moi, d’avoir pu terminer une saison très difficile en bonne santé et l’esprit clair. Arriver dans un nouvel endroit, une nouvelle équipe, un nouveau coach, ce n’est pas toujours facile. Je suis aussi très fier de mon équipe qui n’a jamais abandonné et qui a fait tout ce qu’il fallait pour gagner la Leaders Cup et le championnat.

Quels ont été les tournants de cette fin de saison ?

C’est difficile de choisir une ou deux choses à retenir de la saison, car nous avons eu tellement de hauts et de bas. La chose la plus importante a été de trouver des moyens de rebondir après des défaites difficiles ou quelques mauvaises séries, comme la fois où nous sommes allés gagner à Paris après avoir perdu à Saint-Chamond.

Revenons sur ce match phénoménal à Gries-Oberhoffen, où tu termines à 9/11 à 3 points. Tu avais mangé quelque chose de spécial ce matin là ?

Non, je n’avais rien mangé de particulier ce jour-là, mais c’est vrai que j’avais pu voir un de mes meilleurs amis qui vit et joue à Strasbourg juste avant, Ike Udanoh. Je pense que cela m’a un peu aidé car ça m’a rappelé comme si j’étais un peu chez moi, aux USA. Il n’était pas question de « travail », mais plutôt de profiter et de s’amuser. Mais une fois que le match a commencé et que j’en ai mis quelques-uns… J’avais le sentiment que je ne pouvais plus en manquer. Je crois vraiment que si j’avais joué davantage, j’aurais pu en mettre 13 ou 14. C’était juste un de ces soirs. C’est spécial parce qu’un soir comme celui-là, ça n’arrive que si tu te donnes à fond.

Tu as souvent été décisif en fin de match cette saison, que ce soit en scorant, comme lors de l’un des derniers matchs de la saison, face à Nancy, au lancer, ou à la passe. Tu aimes être « clutch » ?

Honnêtement, en tant que joueur, l’une des choses les plus importantes que j’apporte sur la table, c’est d’être « clutch ». Même sous la pression, ces moments ne sont pas trop forts pour moi. J’aime ça et je veux être la personne qui va réussir la dernière action. Certaines personnes ont peur de ça et ne veulent pas faire d’erreurs. Pour moi ce n’est pas comme ça. Je veux prendre cette responsabilité, bonne ou mauvaise, je peux l’assumer.

Quelle est pour toi la meilleure qualité de cette équipe ?

Je pense que la meilleure qualité de cette équipe est que nous nous soutenons les uns les autres ! Chaque joueur est là pour venir en aide à l’autre. Si quelqu’un était blessé, devait être mis à l’écart à cause du Covid, ou avait tout simplement un coup de moins bien, il y avait toujours quelqu’un d’autre prêt à prendre plus de responsabilités. C’est vraiment une équipe dont chaque joueur pourrait probablement faire beaucoup plus s’il était dans un autre club, mais qui se sacrifie pour que l’équipe réussisse.

Un dernier mot pour les fans ?

Aux fans, merci pour votre soutien de loin cette saison, l’équipe a accompli son but en étant champion et en remportant la Leaders Cup. A présent, vous aller pouvoir voir évoluer vos BYers en Jeep Elite ! Prenez soin de vous.

NIK CANER-MEDLEY PROLONGE L’AVENTURE EN BLACK & YELLOW !

Après la prolongation d’Edouard Choquet, officialisée jeudi, Fos Provence Basket est heureux d’annoncer une autre bonne nouvelle : Nik Caner-Medley va poursuivre l’aventure chez les BYERS !

Intérieur doté d’une expérience précieuse (15 ans en pro, 44 matchs d’Euroleague, 34 d’EuroCup et 37 de Basketball Champions League au compteur), Nik Caner-Medley a été très important dans le dispositif de Rémi Giuitta cette saison, culminant à 13.4 points, 7 rebonds, et 1.1 passe décisive en moyenne par match pour 15.4 d’évaluation, la deuxième meilleure de l’équipe. Sa combativité, sa régularité et son efficacité tout au long de la saison lui ont ainsi valu d’être sélectionné par la LNB dans le cinq majeur de la saison en Pro B.

A 37 ans, Nik Caner-Medley va donc retrouver la Jeep Elite, division dans laquelle il a déjà évolué avec Monaco en 2016-2017, et avec qui il avait remporté la Leaders Cup, comme cette saison avec Fos-sur-Mer !

EDOUARD CHOQUET VA RETROUVER LA JEEP ELITE AVEC LES BYERS !

Parmi les principaux éléments de la première montée du club en Jeep Elite lors de la saison 2017-2018, Edouard Choquet a encore été précieux dans le dispositif de Rémi Giuitta qui a permis aux « Black&Yellow » de soulever le titre de champion de France de Pro B mercredi soir au terme d’une saison exceptionnelle.

À cette occasion, l’entraîneur provençal, Rémi Giuitta, a annoncé que « La Choque », allait poursuivre l’aventure avec les BYers la saison prochaine, retrouvant ainsi Allan Dokossi, Bodian Massa et Jean-Michel Mipoka au sein de l’effectif 2021/2022 !

Au cours de la soirée célébrant l’exercice victorieux de Fos Provence Basket, Edouard Choquet a également reçu son maillot encadré portant le chiffre 500, comme le nombre de matchs disputés en LNB par le natif de Limoges au cours de sa carrière.

Edouard Choquet connaît plutôt très bien la Jeep Elite, puisqu’il a été sacré champion de France avec l’ASVEL à l’issue de la saison 2015-2016 et a également été élu « All-Star LNB » l’année suivante sous le maillot de Châlons-Reims.

JEEP ELITE, NOUS VOILÀ !!!

La seconde aura été la bonne. Défaits contre Quimper mardi, les BYERS n’ont, cette fois-ci, pas raté leur chance d’accéder à l’élite du basket français pour la deuxième fois de leur histoire. Après une saison ô combien particulière, Fos Provence Basket a su rester mobilisé jusqu’au bout pour ramener cette montée.

Concentrés comme jamais, les protégés de Rémi Giuitta n’ont jamais tremblé pour cette « finale ». Devant de 12 points à la pause, les BYERS ont ensuite géré la seconde période d’une main de maître. D’une main de champion. Car en plus de cette (re)montée, Fos Provence Basket pourrait également rafler le titre de champion de Pro B à la seule condition que Blois perde l’un de ses trois derniers matches.

Cette saison 20/21 restera sans doute la plus belle de l’histoire des BYERS. Car en plus d’avoir terminé dans les deux premiers du championnat, la bande à Edouard Choquet avait déjà mis la main sur la Leaders Cup en novembre. Un doublé exceptionnel qui restera gravé dans les mémoires.

On se dit à l’année prochaine, sur la plus belle scène du basket tricolore.

DIRECTION NANTES AVEC UN OBJECTIF : LA JEEP ELITE !

Plus de peur que de mal après la défaite de mardi face à une vaillante équipe de Quimper (66-75). Blois, Saint-Quentin et Nancy ayant perdu, les BYers (qui disposent du point average face à Paris) ont toujours leur destin en main alors que se présente la dernière journée du championnat.

Une victoire, et les « Black&Yellow » valideront leur accession en Jeep Elite pour la deuxième fois de l’histoire du club en l’espace de trois ans. Pour cela, il faudra donc battre Nantes sur son parquet ce vendredi (à suivre en direct sur LNB TV), un dernier défi qui s’annonce relevé.

Au même titre que d’autres équipes du championnat qui n’ont plus rien à jouer sur cette fin de saison, les Nantais ont affiché un état d’esprit conquérant sur leurs derniers matchs. Le NHB reste en effet sur trois victoires consécutives, dont un succès devant Quimper il y a dix jours (93-91).

Doté d’un effectif complet, aux armes variées, Nantes avait par ailleurs réussi à s’imposer à Parsemain en tout début de saison, s’imposant 83-78 après avoir été mené de 10 points en début de quatrième quart-temps. Un mauvais souvenir, mais aussi un rappel pour ce dernier choc de la saison : il faudra tout donner jusqu’à la dernière seconde pour ne rien regretter.

Le mot du coach, Rémi Giuitta :

« L’équation est toujours la même pour nous. Avant le match, il fallait qu’on en gagne deux, et quoi qu’il arrivait, il fallait aller gagner à Nantes. Certes, on ne savait pas que Saint-Quentin allait également faire un faux-pas à domicile. Sur le match de Quimper, le meilleur a gagné, tout simplement. Il n’y a pas grand chose à dire, si ce n’est que Quimper est une très bonne équipe. Ils ont fait le match qu’il fallait, alors que nous avons bafouillé après une bonne entame (…). Il reste un match. On est confiants, pas surconfiants du tout, mais on va y aller à fond. Comme je l’ai dit aux joueurs, il reste 40 minutes. On mourra sur le terrain s’il le faut, en espérant qu’on finisse cette saison en apothéose à Nantes ».

TOUT SE JOUERA À NANTES !

Dans la chaleur de Parsemain, les Quimperois se sont mués en poseurs de climatisation le temps d’une soirée. Les BYERS pouvaient, en cas de victoire ce mardi cumulé dans le même temps à un revers de St Quentin, s’offrir leur remontée en Jeep Elite, deux ans après l’avoir quittée. Mais tout ne s’est pas déroulé comme prévu.

Malgré une première mi-temps de très bonne facture, les protégés de Rémi Giuitta ont laissé les Bretons installer leur défense dans les 20 dernières minutes. Les Fosséens ratent le coche pour cette fois-ci, mais rien n’est perdu. Bien au contraire.

À part Paris, tous les prétendants à savoir Nancy, St Quentin, Blois et Nancy, ont laissé passer leur chance de revenir. Résultat, un succès des BYERS à Nantes vendredi leur permettra de valider l’une des deux premières places, peu importe les autres résultats.

On se donc tous rendez-vous vendredi devant LNB Tv à 19h30 pour ce qui sera le match de la saison pour Fos Provence Basket.

TOUT POUR LA GAGNE FACE À QUIMPER !

Après avoir vaincu Nancy mardi dernier (78-76), les « Black&Yellow » ont ramené un précieux succès de Rouen (79-85) et vont donc se présenter ce mardi face à Quimper avec le plein de confiance pour aborder ce dernier choc de la saison à la maison.

Les BYers savent qu’avec deux victoires sur les deux derniers matchs, ils seront assurés de voir la Jeep Elite. L’équation est donc simple pour cette nouvelle finale, tout donner pour ne rien regretter. Déjà vaincus en finale de la Leaders Cup à Parsemain en novembre dernier et alors qu’ils sortent d’un revers frustrant à Nantes ce week-end, les Quimpérois vont chèrement vendre leur peau.

L’effectif de Laurent Foirest ne manque pas de talent, avec ses snipers Bathiste Tchouaffé (joueur le plus adroit de la division à 3 points avec 46,7% de réussite) et Paul-Lou Duwiquet, l’explosif Junior Etou, ou encore l’expérience de Ken Brown, qui s’est très rapidement adapté à son nouvel environnement et de l’intérieur Ryan Reid.

Le duel entre BYers et Béliers promet de faire des étincelles. Coup d’envoi à 19h, à suivre en direct sur LNB TV !

Le mot du coach, Rémi Giuitta :

« Rien n’a changé pour nous, on est toujours dans la même situation, à se dire qu’il reste deux matchs et qu’il faut gagner les deux si on veut assurer notre place en Jeep Elite. On ne regarde pas les autres. A nous d’être maîtres de notre destin et de ne pas dépendre des résultats des concurrents. On sait aussi qu’on n’aura pas de cadeaux parce qu’on va affronter deux adversaires face à qui on avait perdu lors de la phase aller.

Il va falloir être capable de se prendre notre revanche, à commencer par Quimper ce mardi avant de penser à Nantes vendredi. J’espère qu’avec l’aide du public ça nous donnera un petit supplément d’âme ce mardi, dans cette période où les joueurs sont exténués physiquement, même s’ils restent motivés par l’enjeu ».

Comme on se retrouve !

Fosséens et Quimpérois ont déjà eu à croiser le fer cette saison à la Halle Parsemain. C’était le 22 novembre dernier pour la finale de la Leaders Cup. Malgré un effectif considérablement réduit, les BYers avaient livré une prestation héroïque en s’imposant 68-57 afin de décrocher la première Leaders Cup de l’histoire du club.

Aux côtés d’Allan Dokossi (17 points, 8 rebonds) et Jamar Diggs (16 points, 8 passes décisives), Nik Caner-Medley avait dominé les débats, terminant MVP du match avec 23 points et 13 rebonds. En championnat lors du match aller en revanche deux mois plus tard, les Béliers l’avaient emporté 94-90. Qu’en sera-t-il ce soir ?

VICTORIEUX À ROUEN, LES BYERS FONT UN PAS IMMENSE VERS LA JEEP ELITE

On peut presque appeler ça une journée parfaite. Parce que les BYERS ont arraché leur 22e victoire de la saison sur le parquet de Rouen. Et parce qu’au même moment, Nancy et St Quentin, les deux principales menaces en vue de l’accession en Jeep Elite, ont perdu. Ce vendredi soir, Fos Provence Basket a donc son destin entre ses mains.

Un succès mardi contre Quimper pour la dernière à Parsemain de la saison garantira quasiment l’objectif de cette saison, à savoir la remontée dans l’Elite deux ans après l’avoir quittée. À Rouen, ce sont encore les hommes forts du moment Bodian Massa et Jamar Diggs qui ont été précieux, notamment ce dernier pour creuser un écart définitif.

Vous l’avez donc tous compris, on a tous besoin de vous ce mardi !! La rencontre est déjà à guichets fermés mais vous avez tous la possibilité de suivre ce match peut-être historique sur LNB Tv. On compte sur vous !!

LES BYERS VOIENT ENFIN LE BOUT DU TUNNEL

Ce litige date de plus de 10 ans et concerne des subventions perçues au titre de l’organisation de stages Basket destinés aux jeunes.

Rien dans le jugement ne remet en cause le Club quant à la non réalisations des actions subventionnées.

Par contre, le manque de vigilance administrative de l’époque combinée à un contrôle éloigné des actions (4 ans plus tard) ont mis le Club à défaut quant à la production de justificatifs probants concernant des dépenses réelles engagées.

Outre cette condamnation sévère à nos yeux, le Club n’a pu bénéficier, pendant la longue durée de la procédure, des subventions octroyées par la RÉGION comme celle qui concerne le fonctionnement de notre centre de formation agréé.

Malgré cela, notre ACADEMY a produit de beaux talents sportifs et le Club a continué à être actif sur le plan des actions sociales.

Mais aujourd’hui nous tenons d’abord à rassurer l’ensemble de la BYERS FAMILY !

En effet, la bonne gestion du Club durant ces dernières années a permis de dégager une succession de résultats économiques bénéficiaires. Notre situation financière est donc solide, saine et nous autorise à faire face à cette dépense sans aucunement mettre en danger notre Club.

Par ailleurs, la clôture de ce litige va nous permettre de pleinement jouer notre rôle d’acteur sportif et sociétal incontournable de la REGION SUD.

À TOUS CEUX QUI SUIVENT, AIMENT ET SOUTIENNENT LES BYERS, SOYEZ SURS QUE NOTRE PROJET DE DEVELOPPEMENT SPORTIF ET SOCIETAL RESTE INTACT !

#LetsGoByers #RéussirEnsemble #AmbitionsIntactes