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Les Provençaux ont concédé leur deuxième revers de la saison face à des Lillois plus constants et particulièrement adroits de loin (84-95).

Les Fosséens retrouvaient leurs supporters ce vendredi soir pour leur première de la saison à domicile en championnat. Une première marquée par une grande annonce puisque le complexe fosséen change officiellement de nom, devenant la Halle des Sports Henri Giuitta !

Tout laissait donc augurer une belle fête, sauf qu’en face, les Lillois ne l’entendaient pas de cette oreille. Les Nordistes ont ainsi joué les trouble-fête en première mi-temps, avec un joli 6/13 à 3-points qui leur a permis de faire la course en tête (20-28 après 10 minutes puis 37-46 à la pause).

Malgré le réveil des Fosséens mené d’abord par Chris Evans pour passer un 8-0 pour revenir à 53-53, puis par le tandem Crusol-Diggs pour ramener les BYers d’un écart de 13 points (60-73) pour égaliser à nouveau dans une Halle Henri Giuitta en feu dans le « money-time » (84-84), ce sont bien les Lillois qui ont arraché la victoire dans le final.

Après deux lancers manqués de Vincent Vent, Fos Provence Basket a fini par lâcher prise devant un nouveau panier à 3-points de Lucas Bourhis (à 5/6 dans l’exercice) et un lay-up de Marcos Suka-Umu pour sceller la défaite des Fosséens, 84 à 95.

Un revers dont il faudra se relever rapidement puisqu’à partir de vendredi prochain, les « Black&Yellow » vont enchaîner trois matchs en une semaine, à Rouen d’abord, puis face à Vichy-Clermont le mardi 31 octobre au Palais des Sports de Marseille, puis à Poitiers trois jours plus tard.

Ensemble, unis, jusqu’à la victoire ! Let’s Go BYers !

Les stats du match

Le mot du coach, Rémi Giuitta :

« On parle souvent de nous, mais il faut féliciter l’adversaire aussi. Lille a fait un super match, avec énormément d’adresse, des paniers à 3-points qui nous ont puni à chaque fois qu’on est revenus. Ils ont su les mettre à chaque fois le tir qui fait mal derrière. Il faut être capable de le faire. On a vu aussi de l’envie, et nous, on manque d’envie. Nous, on analyse, on veut bien faire, mais la Pro B, c’est une guerre des tranchées. Il faut taper d’abord, courir, être intense, et un peu jouer au basket. Mais l’un sans l’autre… En Pro B tu n’existes pas. Je m’efforce pour l’instant à me préoccuper de ça, presque plus que le basket. Parce que sans ça, on n’ira pas loin, la preuve en est sur ce match ».